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Rencontre avec le Directeur Académique le 3 mars : le Où en sommes-nous ?
Nous souhaitions réaliser un point de situation après notre rencontre avec le Directeur Académique des Services de l’Education Nationale (DASEN) au sujet de la dotation horaire du collège pour la rentrée 2023-24. Pour mémoire, cette dotation correspond aux moyens attribués en heures d’enseignement par le Rectorat à l'établissement. Elle est revue chaque année. De cette dotation découle, le nombre de classes, le nombre d’élèves par classe, la possibilité de réaliser des travaux en groupe, etc. Pour la rentrée 2023-24, alors même que les prévisions du nombre d’élèves augmentent (+ 27 élèves), la dotation horaire attribuée par le Rectorat diminue fortement. Cela se traduit concrètement par : · Des moyens octroyés entraînant deux classes de moins, l’une en 5 ème , l’autre en 3 ème · L’augmentation du nombre d’élèves par classe : des moyennes de 28.6 élèves par classe en 5 ème et de 30 élèves par classe en 3 ème , l’année du Diplôme National du Brevet (DNB) ·
Mobilisation contre la fermeture de DEUX classes au collège de Chauvigny
Chers parents, L’an dernier, l’APEIC (Association des Parents d’Élèves Indépendante au Collège de Chauvigny) a activement œuvré contre le projet de fermeture d’une classe de 6 ème par le rectorat. Pour la rentrée 2023, alors que les effectifs sont en forte augmentation, le rectorat prévoit, cette fois-ci, DEUX suppressions de classes : · L’une en 5 ème avec un effectif moyen de 28,6 élèves par classe . · L’autre en 3 ème , année très importante concernant l’orientation des élèves et année de passage du DNB (Diplôme National du Brevet), avec un effectif moyen de 30 élèves par classe. Bien que non concernés par des suppressions de classe, les niveaux de 6 ème et 4 ème ne sont pas en reste : ils atteignent une moyenne de 26.5 élèves par classe. Nous avons envoyé par courrier recommandé avec accusé de réception à la Rectrice et au Directeur Académique du Rectorat. Ce courrier est parallèlement transmis aux personnalités politiques locales et aux médias. Nous
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